- Communiquer à froid,
- Communiquer avec un professionnel,
- Essayer de comprendre,
- Réfléchir sur soi : jusqu’où je vais ? Et comment ? Qu’est ce que je suis prêt à accepter ?
- Se mettre au calme : s’éloigner un peu, changer de pièce, s’isoler pour trouver des solutions, pour faire face…
- Vérifier que d’autre troubles ne sont pas associés (douleur inhabituelle, gène…),
- Traitements en gradation, pour les hallucinations importantes et en situation d’urgence,
- Traiter la dépression pour diminuer l’anxiété,
- Améliorer le sommeil
Archives journalières: 2 août 2025
2 articles
1. Faire preuve d’empathie
- Mettez-vous à la place de votre proche : comprendre ses difficultés réduit l’agressivité,
- Acceptez que le malade puisse ne pas vous reconnaître complètement,
- Réapprenez à le connaître et adaptez votre relation à son évolution.
2. Stimuler les sens
- Les perceptions sensorielles restent intactes, même dans un stade avancé. Favorisez l’apaisement par : des massages aux huiles parfumées, des objets aux textures variées (peluches, bois, tissus doux), le toucher (caresses, poignées de main, baisers, massages),
⚠️ Évaluez toujours si la malade apprécie ou non ces gestes pour éviter d’accentuer l’ agitation.
3. Adapter la communication
Langage verbal
- Parlez lentement, calmement, avec des phrases courtes et simples,
- Donnez une consigne à la fois et accompagnez-la de gestes,
- Soyez patient, laissez le prendre son temps, respectez son rythme,
- Pour éviter la confrontation : détournez l’attention en changeant subtilement de sujet,
- Ayez une liste de sujets qui l’intéressent pour relancer la conversation,
- Utilisez la musique et le chant pour générer des émotions positives.
Langage non verbal
- Adoptez une intonation douce et des gestes bienveillants,
- Votre posture et votre regard reflètent des intentions rassurantes.
4. Comprendre le sens de ses comportements
- Le comportement traduit les émotions, besoins et émotions du malade,
- Il reflète ses tentatives d’adaptation face à ses difficultés à communiquer.
5. Maintenir la cohérence et la constance
- Assurez une routine quotidienne la plus stable et rassurante possible,
- Gardez une cohérence entre vos paroles et vos actes,
- Ajustez vos attentes aux capacités du malade pour éviter frustration et échecs,
- Transformez chaque moment en une expérience positive et stimulante.
6. Favoriser un environnement rassurant
- Maintenez une routine stable pour éviter la confusion et l’anxiété,
- Minimisez les stimuli stressants (bruit, agitation, trop de malades à la fois),
- Encouragez les repères visuels (horloge, calendrier, objets familiers).
⚠️ La malade est souvent désorientée dans le temps et l’espace : aidez-la à se repérer sans la brusquer.
7. Trouver le sens des troubles du comportement
- Tout comportement a une signification : il exprime un inconfort physique, une douleur, une incompréhension ou une souffrance morale,
- Observez ses réactions pour identifier l’élément déclencheur et ajuster votre approche.